Des irrégularités sont constatées depuis l’ouverture du Dialogue National Inclusif et Souverain (DNIS). Malgré les contestations, les travaux continuent de plus belle. Les signataires de cette missive datée du 13 septembre 2022 dénoncent le passage en force opéré lors de l’adoption du règlement intérieur et la mise en place du présidium ainsi que les commissions thématiques et leurs sous-commissions.
« Il serait judicieux de bannir certaines mauvaises pratiques telles que le phénomène majoritaire obtenu par applaudissement, le refus du consensus par un passage en force, la non prise en compte des voix minoritaires et l’attribution sélective de la parole », relèvent les représentants des partis politiques participants au Dialogue National Inclusif et Souverain dans leur correspondance adressée au PCMT.
Par ailleurs, les signataires « refusent d’être des figurants dans un scénario écrit d’avance ». C’est pourquoi, ils alertent le PCMT sur les dérives qui se passent au DNIS.